ANTI-ÂGE ET LUMIÈRE

Des nouveaux outils de haute technologie utilisant le rayonnement électromagnétique, apportent aujourd’hui à l’anti-âge, à la médecine et à la beauté, des solutions thérapeutiques et préventives étonnantes.

Luc BENICHOU MD                 Diplômé de la Faculté de Médecine de Paris 7

GYNECOLOGIE ET LUMIÈRE

La réparation génitale est devenue un objectif majeur en Gynécologie. Les propriétés antalgiques, anti-inflammatoires et cicatrisantes de la lumière en intra-vaginal, apportent aux femmes un soulagement et un confort inattendus.

Luc BENICHOU MD       Diplômé de la Faculté de Médecine de Paris 7

ORL ET LUMIÈRE

Tout proches du cerveau, au cœur de l’oreille interne, les organes neurosensoriels de l’équilibre et de l’audition sont marqués par le vieillissement. Ils bénéficient des effets thérapeutiques réparateurs des nouvelles sources de lumière.

Luc BENICHOU MD    Diplômé de la Faculté de Médecine de Paris 7

ARTICULATIONS ET LUMIÈRE

Arthrose, arthrites, traumatismes musculaires ont un dénominateur commun, la douleur. Le soulagement physiologique rapide apporté par la lumière se double d’une diminution importante de la consommation d’antalgiques.

Luc BENICHOU MD      Diplômé de la Faculté de Médecine de Paris 7

OPHTALMOLOGIE ET LUMIÈRE

Les propriétés réparatrices de la lumière apportent aujourd’hui des solutions inespérées ou innatendues au traitement de la DMLA, de l’œil sec, des paupières…

LUC BENICHOU MD      Diplômé de la Faculté de Médecine de Paris 7

DERMATOLOGIE ET LUMIÈRE

Entre derme et épiderme… vascularisation et pigments… cellules et matrice extra-cellulaire… collagène, élastine… infection et inflammation, les étonnantes propriétés réparatrices de la lumière se manifestent dans le visible et le proche-infrarouge.

 LUC BENICHOU MD      Diplômé de la Faculté de Médecine de Paris

CERVEAU ET LUMIÈRE

Dans le Rouge mais surtout dans l’Infrarouge la lumière pénètre jusqu’au cortex à trevers les os du crâne. Elle atteint également la base du crâne à travers les fosses nasales. À la clé, des résultats étonnants dans la dépression et des promesses très concrètes dans les maladies dégénératives.

Swami
Designer
La lumière fait partie du rayonnement électromagnétique : 
Qu’est-ce que cela veut dire ?

Extraits du film de Jean-Yves Bilien
« PHOTOBIOLOGIE LUMINOTHÉRAPIE » BBB films

La lumière se confond ainsi avec l’immense domaine de rayonnement du spectre électromagnétique. Il part des fréquences les plus basses, de quelques cycles par seconde, venues du cosmos, puis s’étend, en passant par les ondes du courant électrique dans les lignes à haute tension, les ondes radio, les micro-ondes, les ondes millimétriques, les infrarouges, les couleurs visibles, puis les ultra-violets, les rayons X, jusqu’aux rayons gamma où les fréquences atteignent des dimensions colossales…. 10 puissance 30 cycles par seconde…
Ce spectre exprime les propriétés vibratoires et corpusculaires des photons.
Nous avons coutume d’appeller « lumière » la toute petite portion, visible ou presque visible de ce rayonnement, à laquelle nos yeux sont sensibles. Il représente, au cœur du réel, dans l’infiniment petit, l’énigme centrale qui a donné naissance à la physique quantique.

                   Mais quelle est la nature                      de la lumière qui soigne ?

Appréhendées à la fin du XIXème siècle par un médecin Danois, Niels Finsen, les propriétés supposées réparatrices de la lumière sur les tissus vivants lui vaudront le Prix Nobel de médecine en 1903… Il faudra attendre Einstein, la révolution de la physique quantique, puis deux guerres mondiales, pour enfin mettre scientifiquement en évidence, en 1967, le pouvoir cicatrisant de la lumière rouge. Il donnera accès à un champ de plus en plus large d’applications thérapeutiques.
Cette étendue de possibilités est en grande partie liée à la stimulation énergétique par la lumière d’un système physico-chimique propre à toutes les cellules. Elle s’exerce dans le spectre lumineux visible et dans celui de l’infrarouge. Elle s’exprime dorénavant à travers un concept reconnu par la communauté scientifique médicale internationale :                  La Photobiomodulation.

                      Où et comment la lumière                      agit-elle sur les cellules ?

Chaque cellule contient de très nombreuses mitochondries semblables à celle-ci, photographiée au microscope électronique. Au cœur de toutes les cellules, toute l’énergie nécessaire à la vie, est générée par cet organe microscopique. C’est essentiellement là que la lumière agit !

ÉTONNANT !
Les mitochondries contiennent l’ADN maternel…
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C’est au sein de cette usine métabolique contenue dans les mitochondries, que la cellule, quelle qu’elle soit, va produire, sous forme d’ATP et de radicaux libres, l’énergie nécessaire à son fonctionnement et aux synthèses dont elle a la charge. 

Ce que l’on ignorait, c’est que la lumière, essentiellement dans le rouge et l’infrarouge, pouvait directement et indirectement stimuler cette usine métabolique. Elle va également, surtout dans le bleu, protéger la cellule en agissant sur l’environnement infectieux qui la menace.

Du Rouge à l’Infrarouge….

Entre Phsique, Chimie et Biologie, le rôle majeur des photons dans la production d’Entropie….

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                  La cible primaire de la lumière                     vient d’être mise en évidence !

Cette cible est la molécule la plus essentielle à la vie.                 Sa formule ?: H2O….. C’est l’Eau. Toutes nos cellules en contiennent et toutes nos cellules baignent dans un milieu extracellulaire riche en eau.   Aujourd’hui, il a été mis en évidence que dans les longueurs d’onde du  proche-infrarouge, la lumière diminue la viscosité de l’eau, diminue sa densité et agit sur sa structure! En rendant l’eau d’un côté plus « fluide » et de l’autre directement active, ce sont les mouvements à l’intérieur et à l’extérieur de la cellule qui sont facilités. Par exemple, si l’on est en mode pulsé lent, on va accélérer le passage intra-membranaire d’un minéral aussi important que le Calcium…

Un moteur de 10nm de diamètre synthétise l’ATP.

10 nanomètres de diamètre ! soit 10 milliiardièmes de mètre…. le rotor de ce moteur biologique, pouvant tourner à 9000 tours/minute, est lubrifié par l’eau. Il est animé par le flux de protons issus de la chaîne de transport des électrons. Il entraîne un système de couplage qui permet de greffer un atome de Phosphore sur la molécule d’ADP pour en faire une molécule d’ATP. C’est à ce niveau que la lumière agit. En réduisant la viscosité de l’eau, elle accélère la vitesse de rotation du moteur et, ainsi, la production d’ATP.

Que recevons nous du soleil ?

Le soleil et les étoiles nous envoient la presque totalité du spectre électromagnétique. Dieu merci, la partie terriblement dangereuse qui commence avec les UV C et se poursuit avec les rayons X et Gamma, est  rejettée par le champ magnétique terrestre et absorbée par les hautes couches de l’atmosphère.

 LE SOLEIL : Peu généreux en rayonnement Rouge et       Infrarouge.                                                                               Une grande partie du rayonnement bénéfique, Rouge et Infrarouge, venu du soleil est absorbé par l’atmosphère.
Les technologies de pointe des lasers et des LED permettent aujourd’hui de faire bénéficier l’organisme de ce rayonnement précieux.

ATTENTION : Les effets biologiques de la lumière sont obtenus avec des sources lumineuses peu puissantes. Si l’on concentre la lumière émise par ces sources, celle ci peut brûler. De la même façon, la lumière du soleil concentrée par une loupe enflammera du papier.

MIEUX COMPRENDE LA NATURE 

ET LES EFFETS DE LA LUMIÈRE

L’intérêt en thérapeutique du rayonnement électromagnétique, dans le domaine de la lumière visible et infrarouge, utilisé à des densités de puissance non thermiques ou peu thermiques pour les tissus, a pris un essor impressionnant.

Expliquer et comprendre ce phénomène ne peut s’entreprendre qu’à partir des concepts élémentaires de la physique, singulièrement ceux de la physique quantique, appliqués à la biochimie et à la biologie moléculaire. La surprise a été grande, en effet, pour nous médecins, de découvrir, à travers la nature intime de la lumière, son intrication permanente dans les mécanismes de la vie cellulaire. Cette intrication va en fait bien au delà… Elle est indissociable de la nature même de la matière. C’est la manière la plus simple de répondre à celles et ceux qui ont pu se poser la question suivante :

Mais qu’est-ce que la lumière vient faire là dedans?…

Pour aller plus loin et afin de simplifier le sujet pour mieux le comprendre, nous devons d’abord opérer un énorme changement d’échelle de l’espace en passant du micromètre au picomètre 10-12 m et du temps en voyageant de la milliseconde à la femtoseconde 10-15 sec… Ensuite nous devons admettre que la matière d’un être vivant n’est faite que de molécules donc d’atomes et que ces derniers, quels qu’ils soient, sont faits de 4 éléments. Les trois premiers nous viennent à l’esprit comme l’image planétaire de l’atome. L’Électron, le Proton, le Neutron… Et le quatrième, indissociable des trois autres ?  C’est le photon, support et véhicule de la lumière. Tout à la fois Particule et Onde comme les trois autres, il n’a pas de masse. En revanche, il possède une énergie directement proportionnelle à la fréquence à laquelle il vibre et ainsi indirectement proportionnelle à sa longueur d’onde… C’est ainsi qu’au sein des atomes et des molécules de la vie, les photons, émis et absorbés en permanence, ont des longueurs d’onde qui s’étalent de l’ultraviolet à l’infrarouge, donc entre visible et proche invisible… Cependant, ces photons visibles, puis peu visibles, voire invisibles n’occupent qu’une minuscule fenêtre du rayonnement électromagnétique. Celle qui va des Ultraviolets B et A aux Infrarouges dits lointains, en passant par le visible. Il y a donc, avant d’aller plus loin, trois éléments essentiels à considérer.

Le premier concerne le fait que nous parlons ici de photons non thermiques, ou peu thermiques; nous devons plutôt dire qu’ils ne sont pas assez concentrés pour chauffer fortement ou brûler.

Rappelons-nous l’expérience de la loupe au soleil…

Tous les photons appartenant au spectre qui nous intéresse peuvent être concentrés suffisamment pour brûler et détruire. Les Lasers KTP, Colorant pulsé, Rubis, Alexandrite, YAG, Erbium, Erbium Glass, CO2, etc… sont là pour nous le rappeler.

Le deuxième concerne le spectre électromagnétique qui commence après les infrarouges lointains et s’étend jusqu’au début des ondes radios, qu’on appelle toujours les ondes courtes, utilisées par les radio amateurs… Ce spectre est depuis longtemps utilisé en médecine essentiellement pour chauffer voire pour brûler les tissus (Micro-ondes, Radio Fréquences) mais également pour modifier la conduction neuromusculaire (Ondes millimétriques auxquelles appartient la 5G).

Le troisième élément est très intéressant à considérer.

Il concerne les Rayons X. Si on les concentre peu on s’en sert en imagerie en prenant beaucoup de précautions car ils sont ionisants. Ils peuvent ainsi entraîner des lésions du matériel génétique. Si on les concentre plus ils deviennent les agents de la radiothérapie, faite pour détruire des populations cellulaires. Pourtant, les photons dont ils sont faits excitent les atomes en faisant grimper à des niveaux supérieurs, voire en les arrachant, les électrons les plus énergétiques, c’est à dire les plus proches du noyau atomique. Phénomène étonnant mais fondamental de la physique quantique, ces électrons vont ensuite retomber à leur place, mais ils vont le faire en plusieurs étapes intermédiaires. Ces étapes de désexcitation vont correspondre à l’émission de photons, situés surtout dans l’infrarouge, entraînant des effets positifs sur l’oxygène et la respiration cellulaire. Cela explique certains effets cliniques bénéfiques observés parfois en marge des effets délétères souhaités.

Consubstantielle en effet de la matière, la lumière se manifeste ainsi en permanence et directement dans toutes les réactions chimiques de la biologie moléculaire. Elle possède ainsi la faculté d’interagir, lorsque, venant de l’extérieur, elle est projetée sur la scène de ces réactions. Elle le fait alors toujours en apportant de l’énergie, s’il peuvent l’accepter, aux atomes impliqués dans ces réactions.

Cet apport d’énergie se nomme excitation. Pour continuer à être clair, en excitant l’atome c’est à l’électron que le photon apporte son énergie. Le faisant, et comme il n’a pas de masse, il disparaît dans l’électron. Enfin, si l’électron perd toute l’énergie gagnée aux dépends du photon…. le photon réapparaît.

Ce nouveaux monde de la biologie moléculaire c’est celui des objets quantiques, celui de la physique qui porte le même nom et qui, en un peu plus de 100 ans a permis, de l’informatique au nucléaire et à l’astrophysique, de construire la plus grande révolution scientifique de l’histoire d’homo sapiens.